Des chercheurs du Laboratoire de biologie moléculaire des eucaryotes (LBME, CNRS/Université Toulouse III - Paul Sabatier), de l'Institut de génétique moléculaire de Montpellier (IGMM, CNRS/Universités Montpellier 1 et 2) et de l'Université Aarhus au Danemark viennent de mettre au point un marquage fluorescent qui permet d'observer de manière très précise la dynamique du processus de synthèse des microARNs dans le noyau de cellules humaines vivantes. Leur travail est détaillé dans un article de la revue Journal of Cell Science.
Les microARN, dont on entend de plus en plus parler, sont de mieux en mieux décryptés.